Bienvenue sur le nouveau blogue lequel a été créé avec les objectifs suivants : Tenir les membres du Club informés des soirées à venir, des activités disponibles, des plus récentes nouvelles concernant les membres et aussi fournir les liens utiles qui pourraient aider à trouver l’information pertinente dont nous pourrions avoir besoin.
dimanche 28 février 2016
Cabane à sucre – Dimanche 13 mars 2016
Quand : Dimanche
13 mars 2016
Endroit :
Érablière au Sous-Bois
Heure : 17H00
164, chemin du
Sous-Bois
Mont-Saint-Grégoire
Un autobus partira du
Pavillon Gérard-Morin à 16H30 (À noter que ce service est gratuit)
Coût : $15 pour
les adultes
$ 9 pour les moins de 12 ans.
Gratuit
pour les 4 ans et moins
Vous pouvez vous procurer des billets auprès
des membres de votre comité.
POUR PARFAIRE NOTRE CULTURE
Le
plus long mot palindrome de la langue française est « ressasser ». C'est-à-dire
qu'il se lit dans les deux sens.
« Institutionnalisation » est le plus long
lipogramme en « e ». C'est-à-dire qu'il ne comporte aucun « e ».
L'anagramme
de « guérison » est « soigneur » C'est-à-dire que le mot comprend les mêmes
lettres.
« Endolori » est l'anagramme de son antonyme «
indolore », ce qui est paradoxal.
« Squelette » est le seul mot masculin qui se
finit en « ette »..
«
Où » est le seul mot contenant un « u » avec un accent grave. Il a aussi une
touche de clavier à lui tout seul !
Le
mot « simple » ne rime avec aucun autre mot. Tout comme « triomphe », «
quatorze », « quinze », « pauvre », « meurtre , « monstre », « belge », «
goinfre » ou « larve ».
«
Délice », « amour » et « orgue » ont la particularité d'être de genre masculin
et deviennent féminin à la forme plurielle. Toutefois, peu sont ceux qui
acceptent l'amour au pluriel. C'est ainsi!
«
Oiseaux » est, avec 7 lettres, le plus long mot dont on ne prononce aucune des
lettres : [o], [i], [s], [e], [a], [u], [x] .
«
oiseau » est aussi le plus petit mot de langue française contenant toutes les
voyelles.
samedi 20 février 2016
Origine des expressions
S'en
ficher comme l'an 40:
Au
Québec, cette expression daterait du début de 1740 lorsque des gens ont
commencé à répandre une nouvelle à l'effet que des événements terribles se
produiraient cette année-là.
La
prédiction se révéla tout à fait fausse. C'est ainsi que pour rire des
personnes qui avaient répandu celle-ci, les colons du temps ont lancé la
fameuse formule: "On s'en fiche comme l'an 40".
Cabane à sucre – Dimanche 13 mars 2016
Quand : Dimanche
13 mars 2016
Endroit :
Érablière au Sous-Bois
Heure : 17H00
164, chemin du
Sous-Bois
Mont-Saint-Grégoire
Un autobus partira du
Pavillon Gérard-Morin à 16H30 (À noter que ce service est gratuit)
Coût : $15 pour
les adultes
$ 9 pour les moins de 12 ans.
Gratuit
pour les 4 ans et moins
Vous pouvez vous procurer des billets auprès
des membres de votre comité.
Le voyage est si court ...
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vendredi 12 février 2016
Origine des expressions
Le
bonhomme sept heures:
C'est
une expression qui a pris une drôle de tournure. Inspirée de l'anglais bonne
setter, c'est-à-dire ramancheur, elle a fait appel à notre imaginaire.
On la
doit aux médecins itinérants qui, autrefois, se rendaient dans les foyers
québécois pour replacer les os des habitants. Comme on entendait les cris de
douleur de leurs patients, ils ne manquaient jamais d'effrayer les enfants.
C'est
ainsi que pour obtenir l'obéissance de ces derniers, nos ancêtres les
menaçaient de faire appel aux services du bonhomme sept heures.
Le compte de banque magique
Imaginez que vous avez gagné le prix
suivant dans une loterie. Chaque matin,
on dépose dans votre compte de banque la
jolie somme de 86 400 $ à dépenser.
Cependant, vous devez respecter les règles suivantes :
Règles à suivre:
1. Tout ce que vous n’aurez pas
utilisé à la fin de chaque jour est
perdu.
2. Vous ne pouvez pas transférer
votre argent dans un autre compte.
3. Vous ne pouvez que le
dépenser.
4. Chaque jour, votre compte
est remis à 86 400 $.
5. La banque peut fermer votre compte
sans préavis en tout temps en vous
disant « C’est terminé » sans aucun recours.
Alors, qu’est‐ce que vous faites?
Acheter tout ce dont vous avez besoin immédiatement? Pas seulement pour vous, mais pour tous ceux que
vous aimez et qui compte pour vous. Même
pour ceux que vous ne connaissez pas,
parce que vous n’arrivez pas à tout dépenser, pas vrai!
Oui, dépenser le moindre sous pour
éviter de le perdre à la fin de la
journée!
Ce jeu existe vraiment. Surpris? OUI!
Chacun de nous est déjà un gagnant de
ce *PRIX*, mais on ne semble pas s’en
rendre compte. Ce PRIX c’est le *TEMPS*.
1. Chaque matin, on se lève et Dieu
nous donne en cadeau 86 400
secondes.
2. Chaque soir, lorsqu’on se couche,
le temps restant est perdu.
3. Ce que nous n’avons pas utilisé
est perdu à jamais.
4. Hier disparaît.
5. Chaque matin, on repart à neuf,
mais le banquier peut nous retirer tout
n’importe quand et sans avertissement...
Alors, que ferez‐vous avec ces 86 400 secondes?
Toutes ces secondes valent bien plus
que le montant équivalent en argent.
Pensez‐y et rappelez‐vous de profiter de chaque
seconde de votre vie, car le temps passe bien plus vite qu’on ne le pense.
Alors, prenez soin de vous, soyez
heureux, appréciez profondément la vie!
On vous souhaite une bonne et belle
journée. Commencez à « dépenser »
judicieusement chaque seconde.
« Arrêtez de vous plaindre que vous
vieillissez…! »
N’oubliez pas, d’autres n’ont plus
cette chance!
Les anniversaires
Tous les 10 ans, d'anciens copains, se
retrouvent pour passer une bonne soirée ensemble.
Au moment de fêter leurs 40 ans, ils se retrouvent et se demandent où passer cette soirée...
Au début ils n'arrivent pas à se mettre d'accord sur le lieu mais l'un d'eux propose :
- "Allons au restaurant « Chez Pilou », la serveuse est vraiment jolie et porte toujours un chemisier avec un décolleté bien plongeant."
Aussitôt dit, aussitôt fait.
10 ans plus tard, pour leurs 50 ans, ils se retrouvent à nouveau et se demandent où passer la soirée mais l'un d'eux propose :
- "Allons au restaurant « Chez Pilou », on y mange très bien et la carte des vins est excellente."
Aussitôt dit, aussitôt fait.
10 ans plus tard, quand ils fêtent leurs 60 ans, ils se retrouvent à nouveau et se demandent comme d'habitude où passer la soirée et l'un d'eux propose:
- "Allons au restaurant « Chez Pilou», c'est calme et le service est excellent."
Aussitôt dit, aussitôt fait.
Au moment de fêter leurs 40 ans, ils se retrouvent et se demandent où passer cette soirée...
Au début ils n'arrivent pas à se mettre d'accord sur le lieu mais l'un d'eux propose :
- "Allons au restaurant « Chez Pilou », la serveuse est vraiment jolie et porte toujours un chemisier avec un décolleté bien plongeant."
Aussitôt dit, aussitôt fait.
10 ans plus tard, pour leurs 50 ans, ils se retrouvent à nouveau et se demandent où passer la soirée mais l'un d'eux propose :
- "Allons au restaurant « Chez Pilou », on y mange très bien et la carte des vins est excellente."
Aussitôt dit, aussitôt fait.
10 ans plus tard, quand ils fêtent leurs 60 ans, ils se retrouvent à nouveau et se demandent comme d'habitude où passer la soirée et l'un d'eux propose:
- "Allons au restaurant « Chez Pilou», c'est calme et le service est excellent."
Aussitôt dit, aussitôt fait.
10 ans plus tard, pour leurs 70 ans donc, ils se retrouvent et se demandent où passer la soirée et l'un d'eux propose :
- "Allons au restaurant « Chez Pilou », c'est bien adapté aux fauteuils roulants et il y a un ascenseur."
Aussitôt dit, aussitôt fait.
Dernièrement, ils fêtaient leurs 80 ans et se demandaient où aller. L'un d'eux proposa :
- "Allons au restaurant « Chez Pilou ».
Et tous de répliquer: - "Bonne idée, nous n'y sommes jamais allés !"
dimanche 7 février 2016
Origine des expressions
Fou
comme un balai
Vous
avez certainement déjà rencontré quelqu’un qui était fou comme un balai. Il était peut-être en état de panique, fou de
joie ou simplement un peu fou !
Cette
expression semble remonter au temps où l’on devait fabriquer des balais en
paille. Le balai fraîchement assemblé était un outil indispensable pour la
maison et aussi pour l’étable.
La
tâche de confectionner ces balais artisanaux revenaient habituellement aux
femmes et aux jeunes filles car il s’agissait d’un art enseigné de mère en
fille. Comme dans toutes les disciplines, certaines étaient plus douées que
d’autres et fabriquaient des balais résistants et invincibles devant les amas
de poussière.
Quand
le balai avait été confectionné par une main moins habile ou encore quand il
était simplement trop usé, il devenait impossible de faire un bon ménage. Tel
un fou, le balai n’en faisait qu’à sa tête et il était impossible de contrôler
la trajectoire de la poussière ou des détritus.
Encore pire, les brindilles de paille qui s’en dégageaient servaient
davantage à salir au lieu de la nettoyer.
De
là est née l’expression être fou comme un balai.
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